Page:Cros - La Vision du grand canal des deux mers, 1888.djvu/17

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Et les mauvais combats et les mauvais procès
N’ont plus troublé les cœurs du grand peuple français.

La nation, jadis saccagée et meurtrie,
Offre à son Roi la paix, son sang à la Patrie.


Mais la gloire du Roi de France va plus haut
Que la terre. À présent c’est le ciel qu’il lui faut.

Car le ciel est peuplé de sphères amoureuses,
Comme nous, de lumière et de forêts ombreuses ;

Car les savants ont vu depuis plus de cent ans
Des signaux faits en vain. On n’avait pas le temps !