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LE COFFRET DE SANTAL
Et mon sein croira, frémissant
Sous l’enlacement caressant,
Subir l’étreinte de l’absent.
Que mon dernier souffle, emporté
Dans les parfums du vent d’été,
Soit un soupir de volupté !
Qu’il vole, papillon charmé
Par l’attrait des roses de mai,
Sur les lèvres du bien-aimé !