Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/141

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foudroya, tel que je ne l’aurais pas soupçonné après les diverses santés portées par lui dans la soirée. Elle devait la trinité de ses épanchements à l’incendie qui ardait littéralement sa peau fumante.

Elle s’attendait à être grondée de rentrer si tard mais elle emportait dans sa poche de quoi la consoler.

La grande Rose vint s’ajouter aux aimables cons qui m’ouvraient leurs portes roses et aux culs qui me logeaient ! Avec sa vaste circonférence, elle était désignée pour cette spécialité.

Ces jeux variés furent bientôt interrompus par une piquante aventure qui fera le sujet des deux chapitres suivants.