Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/89

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gaine, me plongeant jusqu’aux bourses, qui viennent battre au bas des fesses.

La dépucelée supporta stoïquement la fouille énergique de mon gros membre, qui dilatait le fourreau à le faire éclater. Elle ne poussa qu’un cri, mais c’était de plaisir, quand je lançai ma mitraille à toute volée dans son sein à tous risques et périls.

Elle soupira encore deux ou trois fois, pendant que je garnissais le petit étui de mon gros membre qui gardait tout son volume, et qui voyagea au grand enchantement de la fouillée, malgré la cuisson de la déchirure, jusqu’à une nouvelle invasion sous laquelle elle se tordit.

Elle avait sur les bords, quand j’en sortis, un mélange de sperme et de sang. Sa sœur l’emporta jusqu’au ruisseau : là elle lui fit tremper les fesses et les alentours, baignant et lavant les parties endolories, et malgré la douleur lancinante qui devait lui cuire les bords froissés, la dépucelée avait le sourire sur les lèvres.

La Roussotte me demanda pourquoi j’avais comblé sa sœur cadette de mes faveurs. Je lui répondis que ça ne prenait jamais la première fois, bien que je n’en fusse pas bien sûr moi-même ; puis c’était la seconde éjaculation, la