Page:Dacre - Zofloya, tome 1.djvu/155

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

bois, et supposons que la signora l’ait défendu, personne n’irait le lui dire.

— C’est vrai, reprit Catau, d’un air pensif. C’est vraiment ben dur d’être enfermée comme ça ; mais Sainte-Vierge, comment ouvrir cette porte ?

— Ô ! ma chère Catau, rien n’est impossible aux gens de bonne volonté. Il vous serait facile de vous procurer la clef sous un prétexte quelconque, et alors vous pensez combien il serait délicieux de se trouver hors de l’habitation de la méchante signora.

— Il me vient une idée, mam’selle… oui, je pense une chose. Faut pas que je demande la clef, ça serait tout dire. Je me souviens qu’avant votre arrivée ici, la signora m’en-