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LE PARADIS.


NOTES DU CHANT HUITIÈME


3-8-1. Dans l’état périlleux du paganisme.

3-8-2. Dans le système de Ptolémée, les épicycles sont les petits cercles dans lesquels chaque planète se meut d’occident en orient, en même temps qu’elle est emportée d’orient en occident par le Premier Mobile. Ainsi l’épicycle de la troisième planète, ou de Vénus, est le troisième épicycle.

3-8-3. Fille de l’Océan et de Téthys, et mère de Vénus.

3-8-4. Sous la figure d’Ascagne, fils d’Énée. (Aeneid. IV.)

3-8-5. Cypris ou Vénus.

3-8-6. A mesure que Béatrice monte d’une sphère dans une sphère plus élevée, elle resplendit d’un plus vif éclat.

3-8-7. Selon que leur vue pénètre plus ou moins en Dieu.

3-8-8. Invisible par lui-même, le vent devient visible lorsqu’il chasse des vapeurs, la grêle, etc. ; — d’autres par venti entendent la foudre.

3-8-9. Les divines lumières, les esprits bienheureux, que Dante et Béatrice rencontrent dans Vénus, cessent de suivre, pour venir à eux, le mouvement circulaire de la planète, lequel commence dans les hauts Séraphins, c’est-à-dire dans le Premier Mobile, séjour des anges les plus élevés, ou des Séraphins.

3-8-10. Premier vers de la première canzone que Dante commente dans le Convito. Le troisième ciel est le ciel de Vénus.

3-8-11. « Que de continuer de tourner dans le cercle dont nous suivions le mouvement. »

3-8-12. Comme le ver à soie dans son cocon.

3-8-13. Lorsqu’on serait venu le temps.

3-8-14. Le Garigliano, anciennement le Liris.

3-8-15. Deux promontoires de la belle Trinacrie, ou de la Sicile.

3-8-16. Le vent d’Est.

3-8-17. Dans les profondeurs de l’Etna, sous lequel les anciens disaient que Typhée était enseveli.

3-8-18. « Elle ne se serait pas donnée à Pierre d’Aragon, mais elle aurait reconnu pour ses rois légitimes les descendants de Charles Ier, mon aïeul, nés de lui par moi, et de l’empereur Rodolphe par sa fille Clémence, mon épouse. »