Page:Daveluy - Le cœur de Perrine, 1936.djvu/81

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Et il vous le demande, Perrine, dit soudain la voix grave du capitaine.

Perrine s’était levée. Tremblante, elle s’appuyait au fauteuil de madame de Repentigny. André de Senancourt se rapprocha, prit sa main, la baisa, puis attirant la jeune fille près de lui, il vint avec elle s’agenouiller devant madame de Repentigny.

— Je suis heureux, Madame, que vous entendiez mon nouvel aveu de tendresse envers Perrine. Je souhaite la rendre heureuse… Je souhaite que chaque jour lui apporte l’assu-