Page:Daveluy - Les holocaustes, 1935.djvu/149

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tite meule pour son couteau de chasse, qu’il faudrait tenir bien aiguisé afin de repousser toute bête un peu féroce. Puis il fallait, après avoir empli jusqu’au bord la gourde d’eau de vie, la bien cacher. Si le sauvage qu’amenait Charlot la trouvait, allait s’enivrer, faire une colère et abandonner son mari, après l’avoir blessé peut-être.


Dix jours durant, Charlot et son compagnon cheminèrent.