Page:De la Mennais - De la religion, 1826.djvu/227

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Le protestantisme, en attaquant l’autorité de l’Eglise, n’abolit pas, comme on pourroit le croire, le droit général qui toujours avoit soumis, sous différentes formes, la souveraineté temporelle à la loi divine. Les premiers réformateurs le rappellent, au contraire, perpétuellement dans leurs écrits ; et c’est par ce droit, que leurs doctrines les forçoient de dénaturer, qu’ils essayèrent partout de justifier leurs rébellions. écoutons un protestant, l’historien de l’écosse, Robertson : " Knox et Willox se présentèrent comme députés de leur ordre (du clergé presbytérien),... etc. "