étude la céramique de l’ancienne province bretonne tout entière, nous avons dû nous borner à l’histoire des Faïenceries rennaises. Ainsi réduite, notre tâche était encore suffisamment lourde.
Nous avons utilisé, parmi les notes de M. André, une grande partie de celles concernant le sujet spécial et restreint que nous avions à traiter. Nous y avons ajouté le contingent assez important de nos recherches et de nos investigations personnelles. Enfin, nous croyons avoir mis à profit les renseignements, les conseils, les avis, les appréciations que nous n’avons jamais sollicités en vain de ceux à l’obligeance desquels nous avons fait appel.
Il sellait trop long de citer tous ceux qui nous ont été utiles. Nous savons même que quelques-uns d’entre eux nous reprocheraient de les avoir nommés. Qu’il nous suffise donc de dire ici que nous leur adressons à tous, avec un cordial remerciement, l’expression de notre vive gratitude.
En terminant ces quelques lignes d’Avant-Propos, que nos lecteurs nous permettent de solliciter leur plus grande indulgence, car, nous ne pouvons nous le dissimuler, il existe de trop nombreuses imperfections dans ce travail auquel — nous le sentons surtout au moment où nous le livrons à l’impression — nous n’étions pas suffisamment préparé.
Nous osons espérer que cette indulgence ne nous fera pas défaut et que l’on voudra bien nous tenir compte de notre bonne volonté.
