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ROMANCES.

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L’ORAG E. -

D, ss sa course brûlante, Oh ! que la nuit est lente ! De sa lueur tremblante, Elle attriste l’amour.

J’entends gronder l’orage ; Il trouble mon courage. Ne reverront-ils pas le jour, Mes yeux voilés de pleurs d’amour ! Délire où je me plonge, Fuyez, jaloux mensonge ; I2,