Page:Desbordes-Valmore - Œuvres complètes, tome 1, Boulland, 1830.djvu/351

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Je ne t’accuse pas ! Qui sait si le tombeau
Sera froid sur mon corps, si ton souffle l’effleure ?
Je ne t’accuse pas ! je pleure,
Et j’aime le printemps ; le printemps est si beau !