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ROMANCES.

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PÈLERINE.

Pèlerine, où vas-tu si tard ? Le temps est à l’orage. Peux —tu confier au hasard Tes charmes et ton âge ? C – Ermite, n’ayez point de peur.

Du ciel je ne crains plus la foudre ; Que ne peut-il réduire en poudre L’image qui brûle mon cæur ! » O ma fille ! donne un moment A l’ami qui t’appelle ; Viens calmer ton égarement A la sainte chapelle. » Ermite, mon âme est à Dieu ; Partout il me suit, il me guide ; Il m’a dit de fuir un perfide : Je fuis l’Amour, Ermite, adieu. » Pèlerine, en fuyant l’Amour, Que la pitié t’enchaine. Un malheureux, depuis un jour, Pleure ici sur sa chaîne. »

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