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Page:Desbordes-Valmore - Une raillerie de l’amour, 1833.pdf/295

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XX.


Georgina souffrait alors sous l’obscurité de tous ses rideaux. Elle avait depuis plusieurs jours défendu qu’on les ouvrît. Sa tante, cachée comme elle dans cette demi nuit, s’y enfermait volontairement, bien qu’elle aimât le grand jour ; elle soignait sa chère malade, docile à prendre tout ce