Page 173, l. 26. — Gassend à Peiresc, 8 oct. 1630 : « M. de Marcheville est tousjours dans le dessein de partir en novembre… Je ne vous escry point d’autres nouvelles… Il faudra attendre que je sois en Levant… » (Lettres de Peiresc, IV, 245). Le comte de Marcheville, nommé ambassadeur du roi à Constantinople, ne partit qu’en juillet 1631, accompagné de quelques savants, en effet ; mais Descartes n’en fut point, ni Gassend non plus.
Ie vous aſſure que tant s’en faut que i’aye témoigné au ſieur (Beecman) que vous m’euſſiez parlé de luy, qu’au contraire i’ay taſché de luy en oſter tout ſoupçon ; car ie ne luy mande point du tout qu’on m’ait 5 rien dit de luy, ſinon que ie mets en ma premiere lettre[1] : Muſicam a te meam ſuperiori anno repetij, non quod indigerem, ſed quia mihi dictum erat, te de illa
- ↑ Voir plus haut, p. 155, l. 8 — p. 156, l. 2. Clerselier ne donne encore ici que la version française, de même que pour les mots sur lesquels insiste Descartes dans la phrase suivante, et que pour les citations de la seconde lettre.