Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, I.djvu/683

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ADDITIONS

VI bis.
Balzac a Descartes.
Paris, 30 mars 1628.
Socrate Chrestien, par le Sr de Balzac, et autres Œuvres du mesme Autheur.
(Paris, Augustin Courbé, in-12, 1657, p. 345 ; 1661, p. 239, etc.)

Cette lettre est celle que D. Nisard avait signalée (voir plus haut, p. 6, l. 3-7), comme remercîment adressé à Descartes pour l’Apologie qu’il avait composée en faveur de Balzac. La page qui la précède, dans les éditions ci-dessus indiquées du Socrate chrestien (p. 343 ou p. 237), donne en faux-titre : Trois Discours enuoyez à Monsieur Descartes. En effet, cette lettre, qui manque dans la grande édition des Œuvres de Balzac, 2 vol. in-f°, 1665, se trouve jointe, dans les éditions particulières du Socrate chrestien, aux trois Discours ou Dissertations : Le Sophiste Chicaneur. Le Chicaneur convaincu de faux. La dernière objection du Chicaneur refutée. Elle sert donc à dater par approximation, non seulement, comme nous l’avons vu, la Lettre VI, dont elle accuse réception, mais aussi ces trois Dissertations ; elle confirme et précise ainsi une conjecture que nous avions proposée, p. 12, dernier éclaircissement.

Monſieur,

I’ay receu le Diſcours Latin que vous auez fait. le n’oſerois l’appeler voſtre Iugement ſur mes Eſcrits,