Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/312

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joo Correspondance. m,, 127.

dixième livre d'Euclide, qui est probablement d'Albert Girard, et est inséré dans le volume VI des Œuvres mathématiques de Simon Stevin (Leyde, Elzevier, 1634). Il est très possible que ce Traité soit tombé isolé entre les mains de Mersenne et qu'il ait également désiré avoir le juge- ment de Descartes sur la matière. Ou bien serait-ce le livre de Géométrie, donné à Mersenne pour Descartes (dans le même but sans doute) et dont il est fait mention dans la lettre du i5 septembre ? (Voir p. 178, art. 9.)

Page 296,1. 24. — Prœfatio ad Lectorem, i"=édit., p. 2-3 (non paginée), et 2" édit., p. 2-4 [id.]. Il s'agit, en particulier, du passage : Vidi quidem prceterea duo quœdam scripta satis longa, où sont visées des Objections faites au Discours de la Méthode, et qui, comme on le voit ici, avaient circulé manuscrites. L'un de ces écrits doit être celui de Petit (voir t. II, p. 344, note a), dont Clerselier aura remplacé le nom par Tinitiale « N. ». L'autre peut être soit celuj du cousin de Du Maurier (t. II, p. 397, 1. 16), soit celui des o Analystes » (t. II, p. 622, 1. 7, et p. 629, 1. 22).

Page 297, 1. 29. — Tous ces litres se trouvent complétés ainsi dès la première édition : Index Tractatuum hoc volumine contentorum, et Mer- senne les avait ajoutés sur la copie MS. qu'il distribuait. Voir à ce sujet une lettre de Gassend, du 3 mai 1641, citée plus loin comme éclaircisse- mentde la lettre CCXXXVII, du 28 avril 1641 {Clers., II, 296).

��ccxxx.

HoBBES A Mersenne pour Descartes.

Paris, 7 février 1641 . Texte de Clerselier, tome III, lettre 3i, p. 127.136.

« Réponse de M. Hobbes à la précédente », dit Clerselier, c'est-à- dire à notre lettre CCXXVIII, p. 287 ci-avant. A la suite du texte latin, Clerselier donne une version française, lettre S 2""', p. i3j- 14g. — Descartes répondra le 4 mars 1641 , lettre CCXXXII ci- après.

Reuerendiffime Pater, Quod ea, quae fuperiori epiftolâ tuo iuflu tibi

a. Lettre perdue, aux trois premiers feuillets de laquelle Descartes avait

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