Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/492

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480 Correspondance. i, 4»4.

Mais ie crains que ie ne vous aye déjà ennuyé par la longueur de cette lettre ; ie me tiendray tres-heu- reux û vous me continuez l'honneur de voftre bien- ueillance & la faueur de voflre protedion, comme à celuy qui eft, &c.

CCLXIII.

Descartes a Mersenne.

[Endegcestl, 19 janvier 1642. Autographe, Bibliothèque \ictor Cousin, n:' i3.

Variantes d'après le texte de Clerselier. t. III, lettre ii4,p. 60g- 611. L'exemplaire de l'Institut marque que cette lettre est la 45' [chiffres corrigés sur 3() barrés) des MSS. de La Hire. Elle porte d'ailleurs la cote 3g C, et c'est Justement aussi le n" {3g) du classc- ment de dom Poirier.

Mon Reu"^ Père,

le vous enuoye ma refponfe au R. P. Gibieuf '; ie t'ay fermée feulement par bienfeance, car il n'y a rien que tout le monde ne puilTe voir, & fi vous tefmoignez auoir enuie de fçauoir ce que ie refpons au R. P. de la Barde, ie ne doute point qu'il ne vous la monflre.

Pour les lefuites, ie ne voy point encore de fran- chife en leur fait ; i'ay receu les billets du P. Bourdin*-",

6 Reuerend. — 7 et 10 Reue- i'3 de franchile] bien clair. — rend Père. — 11 la] le. — 1-2- i3 Père.

a. Lettre CCLXII ci-avant, p. 472.

b. Voir ci-avant, p. 474, 1. 9, à p. 479, 1. 26.

c. En réponse à la lettre CCLIX ci-avant, p. 464.

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