Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/576

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564 Correspondance.

d'eji veoir quelque dejfein de rojlre penfce, ou ie fçay que le vray & l'extrême & l'vnique i'jv^.-o^^ de toutes choje.s cjî graué comme in archetypo. le vous fupplie, Monjîeur, d'agréer la femonce que io/c vous en faire, après cette excellente pièce des Mechaniques, dont autrefois il vous a 5 pieu m'enricliir'^. Mon intention n'ejî pas de vous prejfer : comme ie vous le demande quand ie veux, vous ne me l'accordere^ pas, que quand il vous viendra le plus a poincl, &JÎ a poincl, que vous n'en receuie^ aucune in- commodité ^\ 10

le fuis très fatisfaicl du récit que vous auc^ faicl au Prouincial des le fuites de ce qui s'ejl paffé entre vos ad- uerfaires & vous, tant de ça que de la \ Ce ioly liuret, qui de tout cojlé porte des marques de vojlre s' folidite incomparable, m'a diuerti delicieufement au dernier i5 voyage, & vous en rends grâces très humbles, demeurant fans faulte ny rcfcruc,

M on fleur, Se.

a. Tome I, p. 435 : E.vplicatiun Jes engins. c7i'.. cnvovée le 5 octobre 1637.

b. Descartes n'enverra la pièce demandée que dans la lettre du tS fé- vrier 1G43, ci-après CCXCV.

c. Ce récit des démêlés de Descartes, tant avec le P. Bourdin à Paris qu"avec Voeiius à-Utrecht. n'est autre que la Lettre au P. Dinel. imprimée sous ce titre : Adni'iditm Rcverendo Patri, Pat ri Dinct. Societati.< Jesii, Prcpposito proviiiciali per Franciam. Renatus De."! Cartes S. D., p. i3p- 212. à la suite des Objectioiies Scptini(V. etc. (Amstelodami, apud Ludo- vicum Elzevirium. 1642.')

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