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CCCLX. — 8 Novembre 1644. 147

» tu, et tôt alij insignes Viri, quos insinuas, obstringitis,cùm me reputare » eum dignamini, qui viri commenta retegere possim. Id scilicet affectui » tribuo, curtae rei alioquin conscius, ac non nescius prouinciam hanc » ad vos longé potiùs spectare. » (Ib., t. VI, p. 202.)

��CCCLX.

Descartes a l'Abbé Picot. [Calais], 8 novembre 1644.

��A. Bajli.et], La Vie de Monsieur Des-Caries, t. II, p. 240-24;.

��« Après la fête defainl Simon', le P. M erfeiine, délivré de l'int- prejjion du gros recueil de pièces Phjfiques & Mathématiques qu'il intitula Cogitata Phyfico-Mathematica, & n'ayant plus rien, au dé- part de M. Defcartes, qui put le retenir à la Ville, partit pour un voyage de huit ou neuf mois qu'il avoit à faire en Italie ; et M. Def- cartes, ayant laijfé le rejle des exemplaires de fes Principes, fous la difpofilion de l Abbé Picot, che^ la veuve Pelé, Libraire de la rue S. Jacques, prit la route de Calais pour retourner en Hollande. [En marge : Lettr. à Picot MS. du 8 Novemb. 1644.] H f ut arrêté par les vents dans cette ville pendant prés de quinze jours, où il ne put s'oc- cuper d'autre chofe que de la leclure de la verjion françoife que l'Abbé Picot f on hôte avoit faite de fon livre des Principes, & dont il avoit apporté les deux premières parties avec luy. Il en écrivit au Tra- duâeur le vin de Novembre, pour luy marquer qu'il la trouvoit excellente, & qu'il ne pouvoit la fouhaiter meilleure. » (Bailler, II. 246-247.)

Voir la suite, lettre CCCLXVT1I ci-après, 9 février 164D. p. ij5. a. Le 28 octobre.

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