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222 Correspondance. 1,75-76.

manquent point de m'eftre rendues, & comme il n'y a rien au monde que ie defire auec tant de paffion que de pouuoir rendre feruice|à voftre AltefTe, il n'y a rien auffi qui me puiffe rendre plus heureux, que d'auoir l'honneur de receuoir fes commandemens. le fuis, &c.

��CCCLXXXI.

Descartes a l'Abbé Picot.

[Egmond], i er juin 1645. [A. Baillet], La Vie de Monsieur De*-Cartes, t. II, p. 247.

Cette phrase termine l'alinéa où Baillet résume deux lettres pré- cédentes à Picot, du 8 nov. 1644 et du 9 févr. 1645 (voir p. 147 et 175 ci-avant).

« Pour la quatrième partie de cette verjion (version française des Principes), elle ne fut achevée de plus de six mois après [en marge : Leur. MS. à Picot du 1" Juin 1645]. » (Baillet, II, 247.)'

��CCCLXXXII.

Descartes a [Huygens ?]

TRgmond, juin 1645?] Texte de Clerselier, tome I, lettre 109, p. 491-493.I

« A Monsieur *** », dit Clerselier, sans donner de nom ni de date. Mais un passage de la lettre (p. 22S, l. i~) indique qu'elle fut écrite entre février 1645 et janvier 1646. Un autre passage fait allusion aux affaires d'Ulrecht, sans doute à ce qui s'y passa, lorsque la sentence de Groningue (20 avril 164S) y fut connue. D'autre part

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