Page:Deschamps - Études françaises et étrangères, 1831, 5e éd.djvu/117

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« Il pâlit !.... Entendez au moins mon dernier vœu,
« Ma mère : ouvrez le seuil de ma demeure étroite,
« Élevez le bûcher que mon ombre convoite :
« Placez-y les amans… Quand brillera le feu,
« Quand les cendres seront brûlantes, il me semble
« Que vers nos anciens Dieux nous volerons ensemble ! »