Page:Deschamps - Études françaises et étrangères, 1831, 5e éd.djvu/222

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Moi, j’ai reçu du ciel, plus généreux qu’avare,
Peu d’arpens, mais je tiens des poétiques sœurs,
La lyre chère aux Grecs, avec le don si rare,
De rire des malins censeurs.