Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/62

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Aux nefs du firmament les astres se recueillent.
Majestueux, tu meurs ! Et l’univers entend,
Ce pendant que le soir tombe de feuille en feuille,
Respirer tes poumons avides de Titan.