Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/66

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Ses accents tour à tour se gonflent et se voilent
Et mêlent, dans un rythme émouvant et rieur,
La clameur du soleil au sanglot des étoiles.

Mais plus me ravit celle où ta voix retentit
Berlioz ! comme l’appel d’un monde antérieur
Sous le porche désert de l’insondable nuit.