Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/76

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Nul cri ! L’Automne rousse et déchue aux sentiers
Pressera ses tombeaux de porphyre à tes pieds,
Et quand ta forme au loin sera toute fondue

Ô Vierge ! d’un sanglot longuement secoué,
Je dénouerai dans l’ombre et la nuit revenue
Ce que nos mains d’enfants un soir avaient noué.