Page:Dickens - Les Grandes Espérances, Hachette, 1896, tome 1.djvu/51

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ment en imagination, ou si les oreilles de la société en entendirent quelque chose. Je n’y tenais plus, il fallait me sauver ; je lâchai le pied de la table et courus pour chercher mon salut dans la fuite.

Mais je ne courus pas bien loin, car, à la porte de la maison, je me trouvai en face d’une escouade de soldats armés de mousquets. L’un d’eux me présenta une paire de menottes en disant :

« Ah ! te voilà !… Enfin, nous te tenons ; en route !… »

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