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VULGARES. — Quelques auteurs considèrent que ce terme englobait une catégorie d’esclaves, venant après les ordijiarii el d’attributions peu relevées : on y aurait compris les portiers, valets de chambre, porteurs de litières, cuisiniers, pâtissiers, barbiers, etc.’. Il a pu en être ainsi dans le langage courant, encore que les riches Romains n’aient point nécessairement témoi- gné du mépris aux artisans de leurs jouissances maté- rielles. Cicéron - affecte ce sentiment, il est vrai, mais dans une plaidoirie où il oppose au.x serviteurs les plus modestes ceux qui charment l’esprit ou les oreilles du
Roseher, Aus^fihrlisehes Lexikon der gr. u. rôm. Mythologie, II, t* partie, Leip- zig, 1897, art. Mitlciber ; Wissowa, Religion ii. Kultiis der Jtômer^ dans Handbuch derktass. Allerlumswissenschaft d’Iwau Miiller, Miinicli. 1902, p. 184-187 ; Tou- tain. Les cultes païens dans l’Empire romain^ dans BiljL de l’Ecole des hautes i^tudes {Sciences relig.), I, Paris, 1905. p. 38S-39i ; Campanile, Volcanalia t ludi volcanalici, dans Bult.comiinale, 191+, p. 176-195. VDLGARES. — I Rich, i>ic(tonn. s. v. ; Beckei- et Goell, Gallus.U.p. 151 sont
maître : chanteurs, joueurs de flûte ou de cithare ; la pré- cision du qualificatif reste douteuse. On ne le rencontre encore que dans un passage d’Ulpien discutant le cas de l’esclave diffamé : l’examen du préteur doit porter jusques ad servi qualUatein. Les exemples proposés par Ulpien — ainsi le simple honnête homme, bonae frugi — ne répondent manifestement pas tous à des dis- tinctions juridiques ou même usuelles. Peut-être a-t-on serré de trop près deux textes isolés. Victor Chapot.
VLTLT^JR^’ALI.. — [volturnalia].
VULTURXUS. — [VOLTUHNUS].
moins arrirmatifs. iVlarquardt ignore cette catégorie. — 2 Pro Hosc. Amur. 46, 134 : Mitto hasce artes vulgares, cocos, pistores, lecticarios. Il n’y a d’ailleurs passent ! vulgares. — 3 Dig. XL’U, 10, 15, 44 : etenim muttum interest. qualis servus sit, bonae frugi, ordinarius, dispensa/or, an rero vuLgaris vel medias- tinus an gualisqualis. Godefroy laisse sans remarque le terme tiii/saris et délinit les autres. Il est douteui au moins rpie le mot, dans ce sens, ait .Hé pris comme subslantif.
