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A mon aimable et excellent ami Monsieur C.....
Je vais me parjurer, mon excellent ami, et vous en êtes la cause !
J’avais juré que le Dic ne verrait jamais le jour, et depuis vingt ans vous insistez pour qu’il soit public. — Avez-vous songé à la lourde part de responsabilité qui vous incombe dans le gros péché que vous me faites commettre ?
Alea jacta est ! Je me rends à vos désirs, cher complice. Advienne que pourra !
Votre antique ami, H. C.
Rennes, Mars 1891.