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en jour. C’est alors que M. C m’engagea vivement à le publier. Je lui déclarai formellement que jamais, au grand jamais, le DIC ne ferait « gémir les presses ». (C'est sous ce nom de Dic, abréviation de Dictionnaire, que, dans nos causeries familières, nous désignions mon recueil manuscrit).
Mon ami insistait..... Je tenais bon. — Il insista pendant plus de vingt ans et pendant plus de vingt ans..... je tins bon.....
Enfin j'ai cédé !
Cher lecteur, que votre critique soit légère à un débutant de quatre-vingts ans !
H. COULABIN, Officier d’administration de la Justice militaire en retraite.
