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ÉPILOGUE

RENAISSANCE

Le docteur de Laize se vit devant la porte de l’hôtel où était en ce moment Louise de Bescé. Il reconnut l’agent de Hans Holler attendant à la terrasse d’un bar, quelques pas plus loin, et vint à lui.

— Holler ? demanda-t-il.

— Oui, monsieur !

— La personne n’est pas sortie ?

— Non, monsieur !

— Quel numéro de chambre ?

— Trente-quatre.

— Bon. Merci !

Et de Laize entra sous le porche de l’hôtel. Rien ne lui fut demandé. Dans cet établissement à femmes, on devait être accoutumé aux allées et venues d’inconnus. Il prit l’escalier et monta lentement. Son cœur battait. Au second, la première porte était numérotée quinze. Il se dit : c’est au troisième.

Au troisième, la première porte était le trente. Il s’enfonça dans le couloir de droite, où il avait vu le trente et un… Il fut devant le trente-quatre et s’arrêta. Une crispation tirait sa bouche. Alors il entendit…

Une voix d’homme disait en grinçant, coléreuse et grasseyante :