Page:Dostoïevski - Krotkaïa, trad. Halpérine, 1886.djvu/153

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dans l’obscurité ; et lui, il tend la main et… tout à coup… Oh ! quelle lumière ! Oh ! quel arbre de Noël ! Non, ce n’est pas un arbre de Noël, il n’en a jamais vu de semblable !

Où se trouve-t-il maintenant ? Tout reluit, tout rayonne, et des poupées tout autour ; mais non, pas des poupées, des petits garçons, des petites filles, seulement ils sont bien brillants. Tous ils tournent autour de lui, ils volent, ils l’embrassent, le prennent, l’emportent, et lui-même s’envole. Et il voit sa mère le regarder et lui rire gaiement.

— Maman ! maman ! ah ! comme il fait bon ici ! lui crie le petit. Et de nouveau il embrasse les enfants et il voudrait bien leur raconter l’histoire des poupées derrière le carreau. Qui êtes-vous, petites filles ? demande-t-il en riant et en les aimant.