Page:Dostoïevski - Le Rêve de l’oncle, trad. Kaminsky, 1895.djvu/297

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ville. Au loin, l’espace infini, le désert, la neige noircie de forêts au bout de l’horizon. Les sabots d’acier des chevaux retentissaient, mêlant leur bruit à celui des sonnettes. Pavel Alexandrovitch resta un instant songeur, puis s’endormit paisiblement. Il se réveilla au troisième relais, frais, dispos, occupé d’autres pensées.


FIN.