Page:Doyle - La bataille de Sedgemoor, trad. Savine, 1911.djvu/190

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VII-Ma périlleuse aventure au moulin

Au pied du moulin, il y avait un hangar, évidemment destiné à loger les chevaux qui apportaient le grain du fermier.

Il y restait de l'herbe.

Je détachai donc les sangles de Covenant, et le laissai se régaler copieusement.

Quant au moulin, il semblait silencieux et vide.

Je gravis la raide échelle de bois.

J'ouvris la porte d'une poussée et entrai dans une chambre ronde, dallée en pi