Page:Doyle - La bataille de Sedgemoor, trad. Savine, 1911.djvu/216

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voir emmener mon fidèle compagnon, qui se retournait pour me regarder avec de grands yeux interrogateurs, comme s'il n'arrivait pas à comprendre cette séparation.

Quoi qu'il pût m'advenir, j'étais sûr désormais qu'il était confié à la garde d'un brave homme qui veillerait à ce qu'il ne lui arrivât rien de fâcheux.