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Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/16

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traitement. Dans sa jeunesse, il a été l’officier de cour, amant de cœur de filles galantes ; dans sa vieillesse, il est devenu le parasite, l’exploiteur, le commensal des Juifs, le domestique galonné de Reinach.

Dans ce soudard brutal et féroce, il y a, en effet, un patricien, mais un patricien dégénéré, insolent envers le peuple, servile et peloteur envers les Rois de la Synagogue, un mélange de Montpavon et de Sagan, un Montpavon dont Gambetta aurait été le Morny, un Sagan qui aurait été obligé de se contenter de Yousouf, puisque le baron de Hirsch était en mains.


Par une de ces ironies auxquelles se plaît la Destinée, c’est ce prétorien de vilaine marque qui a vengé ces chefs de l’ancienne armée auxquels on jeta pendant si longtemps l’épithète de capitulards et qui, résignés et stoïques, ne songèrent qu’à préparer la revanche.