Aller au contenu

Page:Dubos - Réflexions critiques sur la poésie et sur la peinture, Tome 2,1733.djvu/560

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Voici ce que dit Boesbeck, ambassadeur de l’empereur Ferdinand I auprès du grand seigneur Soliman Ii sur la maniere dont on traite les chevaux en Bithynie, païs très-voisin des colonies grecques de l’Asie, et contrée limitrophe de la Phrygie, où étoit la patrie de cet Hector qu’on voudroit faire interdire pour avoir parlé aux siens. j’observai dans la Bithynie que tout le monde, et même les paisans y traitent leurs poulains avec humanité,… etc.