Page:Dufay - L’Impôt Progressif en France,1905.djvu/452

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sieurs autres lettres. J’ai dit ailleurs qu’elle perd de son importance, si l’on réfléchit à tous les autres procédés par lesquels on veut faire croire à un crédit imaginaire, et qui trompent bien mieux le public plus facile à séduire par des apparences de luxe que par un impôt dont personne ne s’occupe. En tout cas, le ton ordinaire de la plupart des appréciations données par un grand nombre de notaires, d’avocats et de magistrats, exerçant les fonctions sociales qui font le mieux toucher du doigt les défauts et les dangers de notre système fiscal, héritage trop certain des siècles passés, ces appréciations, dis-je, sont favorables à la réforme.