Page:Dumas - Filles, lorettes et courtisanes.djvu/120

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que l’Arthur, revenons au point où nous avons laisse la Lorette, c’est-à-dire à son talent calligraphique, plus ou moins développé.

La Lorette possède ou le Dictionnaire de l’Académie, ou le Dictionnaire de Boiste, ou le Dictionnaire de Napoléon Landais ; elle cherche à peu près chaque mot qu’elle écrit, ce qui fait qu’elle met deux heures pour écrire une épître de quatre lignes, encore les dernières lettres de ses pluriels sont-elles presque toujours illisibles, et y a-t-il en général un pâté plus ou moins gros sur chacun de ses participes.

Quant aux noms de baptême, elle les prend dans l’almanach, attendu qu’ils ne se trouvent pas dans les dictonnai-