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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/196

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VI.

Solange


La nuit était tout à fait venue pendant le récit de M. Ledru. Les habitants du salon n’apparaissaient plus que comme des ombres, — ombres non-seulement muettes, mais encore immobiles, tant on craignait que M. Ledru ne s’arrêtât ; car on comprenait que, derrière le récit