Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome II.djvu/290

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
279
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

— On leur enfonça un pieu dans le cœur, et on les brûla ensuite.

— Oui, c’est ainsi que l’on agit d’ordinaire ; mais, pour nous, cela ne suffit pas. Pour vous délivrer du fantôme, je veux d’abord le connaître, et, de par le ciel, je le connaîtrai. Oui, et, s’il le faut, je lutterai corps à corps avec lui, quel qu’il soit.

— Oh ! Grégoriska, m’écriai-je, effrayée.

— J’ai dit : quel qu’il soit, et je le répète. — Mais il faut, pour mener à bien cette terrible aventure, que vous consen-