Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/187

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De Morvan fut abasourdi de leur merveilleuse adresse, qui lui expliqua parfaitement la crainte qu’ils inspiraient aux Espagnols.

Enfin, la nuit venue, chaque Boucanier se retira, soit seul, soit avec son matelot, dans une tente en toile, que son engagé avait dressée pendant que lui se divertissait à la cible.

Les serviteurs et les chiens se couchèrent à l’entour des tentes ; des sentinelles relevées de deux heures en deux heu-