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le beau Laurent. C’est lui qui, dernièrement, a soutenu cet incroyable et magnifique combat, dont le retentissement est arrivé, m’avez-vous dit, jusqu’aux pieds du trône, combat dans lequel, avec une frégate de seize canons, il mit en fuite le galion-amiral espagnol et son matelot, vaisseaux armés à eux deux de cent vingt bouches à feu et ayant trois mille hommes d’équipage…
— Il ne s’agit point de cet admirable fait d’armes, dit de Pointis ; pourquoi donc ce Laurent porte-t-il ce grand cordon de l’ordre !