Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/170

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avertis par les capitaines flibustiers du superstitieux respect et de la confiance que Jeanne inspirait aux Frères-la-Côte, se virent, à leur grand regret, obligés de renoncer à l’espoir de séduire une si délicieuse créature, qui, l’avouaient-ils en toute sincérité, l’emportait en tout sur les plus célèbres beautés de Paris et de Versailles.

Le 1er avril au matin, l’expédition mit à la voile.