Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/269

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Le gouverneur raconta alors brièvement à Montbars la conversation qu’il venait d’avoir et l’engagement qu’il avait pris.

— Je compte sur toi, dit-il en terminant, il faut que tu règles les dispositions de l’attaque et que tu prennes le commandement des Frères-la-Côte ! Je marcherai avec vous en qualité de simple volontaire… C’est une réminiscence de jeunesse dont je veux me donner le plaisir… Une partie fine dont je me fais une véritable fête !… Arrange cela d’une façon brillante et tâche de me garder une place à tes côtés.