Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/278

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Tout à coup cependant, un cri de rage et de désespoir retentit ; Ducasse, atteint par un morceau de mitraille, venait de tomber.

— Amis, s’écria de Morvan, vengeance !

À la vue du gouverneur ensanglanté et au cri poussé par le chevalier, une rage furieuse s’empara des flibustiers ; alors ce fut une course effrénée et effrayante, en moins d’une minute ils arrivèrent aux pieds des remparts.