Page:Duret - Voyage en Asie.djvu/90

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imaginer de population plus paisible. Du reste, la campagne est nue et ce n’est qu’un cimetière. Au sortir des portes de la ville, les tombeaux commencent. Tant que la vue peut s’étendre au loin sur les collines, on découvre une succession ininterrompue de petits tertres tumulaires de gazon. En Chine, toute terre est propre aux sépultures et l’espace appartient aux morts.