Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/112

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Oublions l’homme pour nous souvenir de Dieu,
Ne devançons jamais le moment de l’adieu,
Méprisons la pitié que la foule sait feindre.
Si des douleurs sans nom rongent nos cœurs ardents,
Souffrons et sourions ; n’ayons pour confidents
Nul ami, nulle femme et mourons sans nous plaindre.