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IMPRESSIONS D’IVRESSE


d’un


POËTE ALLEMAND.


à monsieur ch. alexandre.




Ô vous qui m’ayez envoyé dans ma solitude la douce et généreuse parole de sympathie qui réconforte et qui relève ; vous qui, sans me connaître, êtes venu me serrer la main et me dire : Courage ! — cher ami inconnu, daignez accepter la dédicace de ce poëme, œuvre de croyant et d’artiste.

Vous qui aimez la sainte et vieille Allemagne, la robuste et féconde poésie germanique, éclose au pied des cathédrales, dans les bruissements des forêts,