Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/41

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Les hommes enivrés par ta vaste harmonie
Étendront sur ton dos la pourpre du génie,
Et tes jours seront beaux comme mon paradis.

J’aimerais mieux, madame, être dans mon délire
Celui qui fit pleurer les chants de votre lyre,
Et que dans votre cœur vous aimâtes jadis.